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Pourtant tu es là, parfois je te devine
Par delà les ondulations, je te laisse m’emporter 
Que je dépose mon armure et nos âmes se rencontrer
Ces larmes qui inondent mes joues et ruissellent entre tes mains
De la terre monte mon désir et t’enveloppe dans une valse envoûtée 
Dans ta splendeur le voile se soulève, ta douceur ainsi révélée
Et ta beauté offerte à qui ose te regarder